Vitalliance

Témoignages de collaborateurs en agence

Grâce à ses 145 agences, Vitalliance parvient à couvrir une large partie du territoire français, tout en restant au plus proche de ses clients. Comment sont organisées les agences pour répondre au plus près aux besoins de nos clients ? Qui sont les chefs d'agence ?

Éléna, chef d'agence

Éléna, chef d'agence chez Vitalliance

Quels sont les trois mots qui, selon vous, qualifient votre métier de chef d'agence ?

D'abord la « passion », car c'est un métier qui demande beaucoup d'investissement personnel, et pour ma part je me suis passionnée très rapidement pour ce travail.

Le deuxième mot serait « humain » car c'est une dimension essentielle de mon activité. Nous sommes amenés au quotidien à aller au contact des différentes personnes que nous aidons. Nous allons à la rencontre de personnes âgées, de personnes en situation de handicap et de leur famille. On se rend à leur domicile et on rentre dans leur intimité pour appréhender au mieux leurs besoins et les aider. Il y a donc forcément des moments de partage qui naissent de ces rencontres.

Enfin le troisième mot serait « l'aide », celle que nous apportons à ces personnes au quotidien. Nous évaluons leurs besoins afin de leur apporter une aide qui permette le maintien à domicile, et surtout, qui soit la mieux adaptée possible.

Il y a eu une modernisation évidente de ces métiers depuis cinq ans. Éléna, chef d'agence Vitalliance

Dans les cinq dernières années, comment ont évolué les métiers de l'aide à la personne ?

Il y a eu une modernisation évidente de ces métiers. Ce qui a changé notamment, c'est qu'il y a beaucoup plus d'écoute qu'auparavant lors de la mise en place d'aides. On sollicite et on prend en compte l'avis des personnes auprès de qui on va intervenir. Celles-ci sont vraiment devenues actrices de leur maintien à domicile.

Chez Vitalliance, on s'est toujours adaptés aux besoins de nos clients, mais maintenant, il est devenu plus facile pour nous de proposer des interventions avec un panel de possibilités bien plus important qu'auparavant, grâce notamment aux progrès informatiques. Pour vous donner un exemple aujourd'hui, lorsque je recherche un profil d'auxiliaire de vie pour une mission, la structure de nos systèmes me permet de le trouver en deux heures maximum, contre un minimum d'une journée auparavant.

Mon projet coup de cœur

Et les mistrals gagnants

La vie, tel est le sujet de ce documentaire, la vie à travers des yeux d'enfants !

Réalisatrice : Anne-Dauphine Julliand
Avec : Ambre, Tugdual, Imad, Camille, Charles

J'ai souhaité à travers ce film donner la parole à des enfants, des enfants « malades », qui malgré leurs pathologies graves, nous donnent des leçons de vie, de bonheur et de sérénité, à nous, adultes et à une société qui en manque cruellement. Anne-Dauphine Julliand, réalisatrice

Amandine, chargée de clientèle

Retour d'expérience d'Amandine, chargée de clientèle, sur son quotidien au sein de l'agence de Paris.

Amandine, chargée de clientèle chez Vitalliance

Pouvez-vous définir votre métier en quelques mots ?

C'est un métier très riche, car pour répondre aux demandes des familles, on passe par un processus de recrutement et de suivi complet et très élaboré.

Qu'appréciez-vous dans votre métier ?

Il est très valorisant d'apporter un réel service en mettant les bonnes auxiliaires au bon endroit et au bon moment, pour permettre le maintien de ces personnes à domicile. C'est un métier très gratifiant, en particulier lorsque l'on parvient à satisfaire les besoins des personnes âgées et que l'on reçoit une certaine reconnaissance : un sourire et un merci. Arriver à un tel aboutissement c'est vraiment le souhait le plus cher que j'ai aujourd'hui en exerçant ce métier.

C'est un métier très gratifiant, en particulier lorsque l'on parvient à satisfaire les besoins des personnes âgées et que l'on reçoit un sourire et un merci. Amandine, chargée de clientèle chez Vitalliance

Quels sont les critères de satisfaction de vos clients ?

La satisfaction de nos clients passe par le bien-être de la personne que nous prenons en charge. Pour cela, il est nécessaire qu'il y ait un très bon contact entre l'intervenante, le patient et son entourage, car tout passe par le relationnel. Quand c'est le cas, c'est que l'on a su répondre aux besoins. Donc lorsque l'on met en place une mission où l'on sent que la famille et l'auxiliaire de vie sont épanouis, on peut dire qu'une bonne partie du travail est réussie.

Pouvez-vous nous raconter un accompagnement qui vous a marqué ?

Je me souviens d'un jeune homme atteint d'une sclérose en plaque qui se déplaçait en fauteuil roulant. Je me suis rendue à son domicile pour établir un premier contact et me présenter, comme nous le faisons habituellement dans notre métier lors de chaque nouvelle mission. Cette première rencontre ne fut pas évidente car c'était une personne assez introvertie et qui avait tendance à voir le verre à moitié vide. Mon défi était de parvenir à créer un lien de confiance avec lui.

Plusieurs mois se sont ensuite écoulés, nous nous sommes revus à de multiples reprises et notre relation s'est peu à peu améliorée. En fait, nous avons compris par la suite qu'il craignait d'avoir affaire à des intervenants différents de façon récurrente. Il est maintenant rassuré car cela n'a pas été le cas et il s'entend extrêmement bien avec son auxiliaire de vie. Aujourd'hui ce jeune homme est un vrai coup de cœur à mes yeux, j'échange beaucoup plus facilement avec lui. Cette rencontre et le suivi positif qui en résulte sont des éléments qui m'encouragent et me font avancer dans ce métier.

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